Chaque mois, les Bonnes Feuilles vous proposent d'élire le Prix des lecteurs. Votez pour votre texte préféré et soutenez un auteur émergent.
Classement
Résultat du vote du public
Bercé par la houle
Sébastien Blanc
L'esquisse d'un nuage
Lecorpenshan
Nos corps souverains
Sophie-Morgane COQUEL
Faut pas embrasser les poétesses
Géraldine Moreau-Geoffrey
On s'éclaire de ce qui brûle
Sylviane Rabetsarazaka
Ce qui nous est chair
Isaline Nitsche - Poéteuse
Ronde Plurielle
Océane Laissouk
Voies de passage
Adam Fresnais
Où vont les garçons tristes ?
Paola Leone
Hécatombe des nuits blanches
Patrick Erwin Michel
Étoiles
Fanny Schwartz
Les pensées du parquet
Zoé Aubry
Manifester le silence
Louise Bellamy
Éclipse sentimentale
La fille de Saturne
Trois vies de femmes
Magali Collet
Mon ébauche d'amour
Réveil forcé
Baiser incandescent
Tout à fait nue
La sélection d'Hadrien
« Ce que j’ai beaucoup aimé dans ce poème, et en poésie en général, c’est de pouvoir se confronter à des sujets que l'on ne ressent pas forcément dans notre peau, dans notre chair. En l’occurrence un accouchement, une mise à la vie et un nouveau statut, celui de mère, qui par essence ne me parle pas, mais qui grâce à la poésie me rapproche des ressentis et des impressions de ce que cela peut représenter, à travers un texte fort et proche des émotions de la poétesse. »
fleur
Atlantis Bar
La fringale d’émois charnels m’exaspère en solitude
« Ce poème commence par un clin d’œil à un auteur qui m’est cher, Raymond Queneau, avec les mêmes mots que les siens : "Apprendre à voir". Je trouve qu’il y a certaines similitudes dans leur manière d’aborder le lien entre poésie et réalité, de se confronter à l’imaginaire, de changer de point de vue et de changer d’angle. J’ai également trouvé l’écriture très impactante et très précise, sans jamais un mot en trop, avec des images et des métaphores très naturelles. »
Rotation
Sans syllabe
Il me faudra cent ans peut-être
« Dans ce poème, j'ai d'abord été touché par la langue, qui est très orale, très parlée. En le lisant, j'ai presque l’impression d'’entendre Zoé dans mon oreille. J'ai ensuite été touché par la métaphore du parquet, par le retour au sol et à une certaine de forme d’ancrage, qui nous montre qu'il n'est forcément nécessaire d’explorer si loin pour trouver du sens et de la poésie. »
Étalée sur le parquet
Aube
Défaillant
Négresse
Merci pour votre participation au concours des Bonnes Feuilles. Les résultats seront annoncés à la fin du mois.